S’il est chose vexante c’est d’être
toujours confondu,
Non pas en excuses mais avec un autre
individu !
Tel était de fait le drame d’un corbeau bougon,
Qu’on appelait corneille tous les
jours à tous les portillons !
Oiseaux voisins ; certes on ne peut le nier…
Tous deux de fait omnivores et noirs
il faut bien l’avouer...
Mais point comparables en taille s’écrie le corbeau offusqué !
Et si
petit et commun que j’en puis bayer !
Aussi qu’on le compare à ce rustre
barbare,
Qui bâfre sans vergogne oisillons,
déchets et cadavres !
Alors que bien sur tout corbeau qui
se respecte,
Se délecte de vers, de noix, de
fruits et d'insectes !
Corbeau ,oui ! À la limite
Corbac ! Croassant !
Pas Corneille ! Cet individu qui
criaille « can can » !
Voilà comment ne plus me confondre
pour de bon,
Avec l’oiseau qui ne marche mais
sautille tel un bouffon !
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